Le gouvernement israélien a annoncé la levée de l’état d’urgence dans les zones proches de la bande de Gaza, qui était en vigueur depuis octobre 2023, dans une décision qui reflète des développements positifs en matière de sécurité. Cette décision a été prise après l’entrée en vigueur, le 10 octobre, d’un accord de cessez-le-feu avec le Hamas, bien que certains affrontements limités avec des militants dans la région se soient poursuivis.
Le ministre israélien de la défense, Israël Katz, a fait cette annonce en déclarant que la situation en matière de sécurité s’était considérablement améliorée, ce qui justifiait l’annulation, selon des médias finlandais tels que YLE. Cette levée est une étape symbolique vers un retour à la vie normale dans les zones concernées, qui ont souffert de restrictions sévères pendant plus de deux ans, y compris des fermetures partielles et des mesures de sécurité strictes qui ont affecté des millions d’habitants.
Le rôle de Netanyahou et de Trump dans le contexte Le président israélien Benjamin Netanyahou a déjà confirmé dans ses déclarations qu’Israël déterminerait la composition des forces internationales associées à la mise en œuvre du cessez-le-feu à Gaza, soulignant le contrôle de son pays sur les mécanismes de sécurité. Le président américain Donald Trump a qualifié l’accord de « paix durable » au Moyen-Orient, saluant les efforts diplomatiques qui ont contribué à apaiser les tensions.
Cette évolution intervient à un moment où la région connaît une baisse de l’intensité des affrontements, malgré les difficultés persistantes, et est considérée comme un signe de stabilité relative qui pourrait ouvrir la voie aux efforts de reconstruction et au dialogue régional.