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Après un conflit de 12 jours avec Israël, l’Iran a pris une série de mesures de précaution sans précédent pour protéger son programme nucléaire et les principaux scientifiques qui y sont associés. Selon les médias et les sources diplomatiques, la plupart de ces scientifiques ne vivent plus dans leurs maisons habituelles et ont été relogés avec leurs familles dans des zones isolées et sécurisées, sous haute surveillance 24 h sur 24 h.
Contexte de la procédure
Cette décision fait suite à une série de raids et de harcèlements israéliens visant des installations et des laboratoires nucléaires en Iran au cours des derniers mois, ainsi qu’à des cyberattaques qui ont tenté de perturber les programmes de recherche et de développement. La nouvelle protection vise à :
- Veiller à ce que la recherche et le développement nucléaires se poursuivent sans interruption.
- Protéger les chercheurs de haut niveau contre d’éventuelles tentatives d’assassinat ou d’enlèvement.
- Renforcer la capacité de l’Iran à répondre à toute menace extérieure contre ses installations nucléaires.
Relocalisation des scientifiques et de leurs familles
Selon les sources, les scientifiques ont été transférés dans des installations fortifiées situées dans des zones reculées, équipées des systèmes de protection et de surveillance les plus récents, y compris des caméras de surveillance et des dispositifs de détection avancés. Des équipes de sécurité armées ont également été placées 24 heures sur 24 pour veiller à ce qu’ils ne soient exposés à aucune menace.
Après la guerre : Renforcer la capacité nucléaire
Les sources indiquent que l’Iran considère que ces mesures font partie d’une stratégie à long terme visant à renforcer sa puissance nucléaire et soulignent que les opérations de recherche se poursuivent à plein régime, malgré la récente guerre.
Tensions régionales et internationales
Certains pays occidentaux ont prévenu que le transfert des scientifiques dans des lieux sûrs pourrait rendre plus difficile la surveillance du programme nucléaire iranienet compliquer toute négociation potentielle sur la reprise de l’accord sur le nucléaire iranien (JCPOA).
