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Le mercredi 17 septembre 2025, les travailleurs de diverses branches de l’éducation organiseront une manifestation de deux heures dans les établissements d’enseignement et devant les délégations régionales. Cette action fait suite à ce qu’ils décrivent comme « la non-application des accords, l’absence de dialogue et l’atteinte aux droits syndicaux ».
Détails de la veillée
Selon un communiqué publié par le département des services publics de l’UGTT, la manifestation débutera à 10h00 et se poursuivra jusqu’à midi, avec la participation de tous les cadres éducatifs :
- Enseignants et professeurs
- Conservateurs et conservateurs publics
- Administrateurs et inspecteurs primaires et secondaires
- Ouvriers et conseillers appliqués
- Conseillers en médias et en orientation dans les écoles et les universités
Raisons de la mobilisation des travailleurs
La déclaration, publiée le 13 septembre 2025, explique que cette protestation est due à « la persistance du ministère de l’éducation à décider unilatéralement des décisions liées au mouvement des transferts, des gestionnaires et autres, en plus des gains de grève, du reniement des accords et du refus de négocier, ainsi que des attaques répétées contre les droits syndicaux, en violation flagrante de la constitution et des conventions internationales ».
Le syndicat a souligné que « le droit syndical n’est ni un privilège ni un passe-droit, mais le principal garant de la justice, de la transparence et de la lutte contre toutes les formes de favoritisme et d’abus ».
Hiérarchie d’exécution
- A dix heures du matin : Rassemblement interne dans la salle des professeurs ou dans la cour de l’école.
- À onze heures : Rendez-vous dans les délégations régionales et rejoignez le reste du personnel dans la manifestation centralisée.
Contexte de la décision
Cette mesure fait suite aux conclusions de la réunion des syndicats de l’éducation qui s’est tenue le 5 septembre 2025, sous la supervision du ministère de la fonction publique, compte tenu de la tension croissante entre les structures syndicales et le ministère de l’éducation.