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Depuis la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies à New York, le président français Emmanuel Macrona annoncé la reconnaissance officielle par son pays de l’État de Palestine, réaffirmant l’engagement historique de la France en faveur de la paix au Moyen-Orient.
Une scène historique et une ovation
Immédiatement après l’annonce de M. Macron, la salle a éclaté en applaudissements de la part des plus de 140 dirigeants et dignitaires du monde entier présents. La délégation palestinienne, dirigée par l’ambassadeur Riyad Mansour, a été l’une des plus applaudies, tandis que le président palestinien Mahmoud Abbas est apparu en direct pour applaudir la décision après que Washington l’a empêché d’y assister en personne.
Macron a déclaré dans son discours : « Sur la base de l’engagement historique de la France en faveur du Proche-Orient et de la paix entre Israéliens et Palestiniens, j’annonce aujourd’hui que la France reconnaît l’État de Palestine. .
Une vague croissante de soutien international
La décision française s’inscrit dans un contexte international de plus en plus tendu, puisque le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et le Portugal avaient déjà reconnu la Palestine en tant qu’État indépendant un jour plus tôt, ouvrant la voie à d’autres pays pour faire de même.
La réalité sur le terrain n’a pas changé
Malgré l’élan diplomatique, les experts estiment que les nouvelles reconnaissances n’arrêteront pas les opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza ni l’expansion des colonies en Cisjordanie occupée, où l’armée israélienne poursuit ses vastes opérations.
Indignation des Israéliens
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a exprimé sa vive désapprobation, déclarant que reconnaître la Palestine revenait à « récompenser le terrorisme du Hamas » et à « punir ses victimes ».